VERSION AUDIO :

SOUTIEN :

MES ACTUS :

Dernier actual play de Claude Féry diffusé sur Outsider ! Alex prend en charge la maîtrise pour une rencontre avec un goupil roux et d’autres événements inquiétants. Un récit et un enregistrement de partie par Claude Féry. La suite sur le blog Subjoncticiel !

(temps d’écoute : 44 min + 1h13 + 42 min ; temps de lecture : 2 min)

CRÉDITS :

Le petit bonhomme en plâtre est une photo de Thomas Hawk, cc-by-nc

Un grand merci aux personnes qui soutiennent ce projet de vidéos sur Patreon :
royn eau ; DeReel ; Denis Langevin ; Maître Yo ; Claude Féry ; Ely Chevillot ; Sylvain ROUSSEAU ; Calameche ; Eric PRADEAU ; Julien Pouard ; Mathieu Grayer ; kF

LIENS UTILES

Notions

Multimédia : série sur l’écriture

Thomas Munier, Écrire un jeu de rôle : quels sont les blocages créatifs et comment les surmonter, sur Outsider
Thomas Munier, Plus jamais la page blanche !, sur Outsider

Multimédia

Thomas Munier, Jeux de rôle minimalistes VS jeux de rôle maximalistes, sur Outsider

Vidéos

Sombre : L’excellence du minimalisme pour une terreur maximale ! sur la chaîne youtube de Vieux Geeks
👉 https://youtu.be/bPVszHvyD6g

Articles

Thomas Munier, La transmission, le sacré et ce qui va de soi, sur Outsider

Jeux

Sombre
Biomasse
Marchebranche
Inflorenza
Nanoflorenza
Inflorenza Minima
Millevaux Choc en retour
Jeux en une page manuscrits de Grant Howitt

Suppléments

Cthulhu DDR
Millevaux Sombre

Utilitaires

Sites

Table de symboles Unicode

LE SCRIPT DE LA VIDÉO

Comment écrire un jeu de rôle accessible ? C’est pas facile, perso j’ai du mal alors on va poser des bases ensemble.

Notion de coût d’entrée.

Comment le faire baisser ? Simplifier ton jeu ou garder un jeu ambitieux mais avec une approche pas à pas (cf vidéo Jeux de rôle minimalistes VS jeux de rôle maximalistes).

Fais-en couches d’oignons : un mini-jeu, puis le même augmenté et ainsi de suite (c’est ce qui est proposé dans Inflorenza Minima : version pico-game (Millevaux Choc en retour) puis un jeu de 60 pages dont voici le sommaire : Résumé du jeu en une page > Essentiels > Options > Conflits de base > Conseils avancés > Étoffer l’univers > Jouer en campagne > Annexe : les prix à payer > Récapitulatif.

On retrouve une approche similaire dans la gamme Sombre avec au départ des règles simples puis au fil des revues des exégèses, des explications, des variantes, des add-ons…

Ou une approche plug and play / arborescente / avec des tables aléatoires comme dans Biomasse. Pense à la numérisation, à produire un PDF augmenté.

Que tu aies un jeu court ou un gros jeu, tente de faire un format en une page. Pas deux ou trois. En une page tu as tout sous les yeux.

Pour le gros jeu, ça peut être ton jeu minimal ou le résumé, avec renvois de page vers les sections pertinentes (dans l’idéal, à terme, c’est le seul doc dont on a besoin). cf article La transmission, le sacré et ce qui va de soi.

Pense aux illustrations, aux schémas (c’est pas grave si tu dessines mal, cf les jeux de Grant Howitt). Éventuellement en tentant de réaliser des schémas, tu vas voir où il faut dégraisser.

Mets des pictogrammes partout (émojis Unicode, police Symbola).
Mets beaucoup de liens hypertexte, de renvois de page.

Adapte Méthode Cornell : commence chaque page ou section par un résumé, mets un exemple par règle, rappelle les trois concepts clés à la fin de la section. C’est ce que j’ai fait pour Marchebranche.

Un point sur l’illustration :
c’est malheureux à dire mais l’accessibilité d’un jeu c’est aussi qu’il donne envie et qu’on comprenne de quoi il en retourne au premier coup d’oeil. Craque au moins du budget sur la couverture (150 €, 200 €, c’est le prix bas mais pour ce prix tu auras quelque chose de beau). Attention aux lettrines du texte, c’est plus impressionnant que la couverture.