Le jeu de rôle, c’est aussi ce qui se passe quand on ne dit rien… mais qu’on pense fort !
(temps de visionnage : 9 min) / (temps de lecture : 2 min)
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Il reste des places pour le mirobolant et immersif GN Invitation à la cour féerique (Ambon, Morbihan, 5-6 Octobre) !
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Le petit bonhomme en plâtre est une photo de Thomas Hawk, cc-by-nc
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Le script de la vidéo :
Dans un article sur les conseils aux PJ, Grant Howitt dit : « Ton personnage n’existe pas si tu ne parles pas ». Je ne suis pas d’accord.
Ton personnage existe dès lors que tu y penses et ça a un impact.
Le jeu intérieur, c’est faire évoluer son personnage dans sa tête, sans en parler aux autres.
Bien que le jeu de rôle soit un jeu collectif, c’est important d’avoir des instants égoïstes.
Le jeu intérieur est également parfait pour les jouaires timides.
Comment implémenter le jeu intérieur dans le game design :
- rituels solo dans les Sentes
- fiches de questions au personnage avec l’aide de jeu L’Ensourcellement.
La création d’historique de perso est aussi un moment de jeu intérieur (cf vidéo correspondante).
En GN :
- s’isoler pour faire monter une émotion (placard à immersion)
- faire du solo entre deux parties (voir avec MJ la marge de latitude)
- écrire des lettres aux autres PJ sans jamais leur adresse ou sans forcément en attendre de réponse.
Outsider 
S’il y a bien un espace où on ne tolère pas le jeu intérieur, c’est celui des commentaires ! 😉 Alors, j’attends vos remarques : est-ce que ça vous arrive de faire du jeu intérieur ?
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