Il y a plein de rab dans cette émission ! Une formation pour monter au niveau 40, un guide pour écrire des GN à plusieurs, et même un atelier pour créer ensemble un jdr sans même avoir besoin de se coordonner !
(temps de visionnage : 27 min) / (temps de lecture : 2 min)
Erratum : ce que j’appelle à tort « le syndrome de l’homme mort » est en fait le « bus factor »
Voir mes autres vidéos courtes sur le jeu de rôle
Version audio :
Lire / télécharger sur Archive
Sur Spotify
Soutiens ces vidéos et accède à du contenu en avant-première sur Patreon
Liens utiles :
[Notions]
- jeu de rôle indépendant
- bac à sable narratif
- GN
- GTD
- belonging outside belonging
- world building
- livrets
- bus factor
[Multimédia / série sur la narration partagée]
- Thomas Munier, Les interparties : comment mettre du gras dans sa campagne ou le jeu de rôle pervasif, sur Outsider
- Thomas Munier, Des questions orientées qui font mouche, sur Outsider
[Multimédia / autres]
- Thomas Munier, Méthodologie et organisation pour le jeu de rôle, sur Outsider
- Thomas Munier, Comment créer ou écrire le background de son personnage de jeu de rôle, sur Outsider
[Jeux]
[Sites]
Crédits :
Le petit bonhomme en plâtre est une photo de Thomas Hawk, cc-by-nc
Un grand merci aux personnes qui soutiennent ce projet de vidéos sur Patreon :
royneau ; DeReel ; Denis Langevin ; Maître Yo ; Claude Féry ; Ely Chevillot ; Sylvain ROUSSEAU ; Calameche ; Eric PRADEAU ; Julien Pouard ; Mathieu Grayer ; kF
Le script de la vidéo :
Nous sommes habitueys à l’idée de l’autaire dans sa tour d’ivoire. Pourtant une partie de jeu de rôle est une création collective même dans les jeux les plus dirigistes, alors pourquoi pas la création d’un jeu de rôle ? D’emblée c’est déjà le cas avec les différents partenaires au fil de la rédaction : relectaire, correctaire, playtestaire, illustrataire, éditaire…
Mais on peut envisager aussi à l’échelle de l’écriture, c’est en fait le cas dans les jeux de rôle édités dès qu’ils ont un peu d’ampleur. C’est aussi le cas dans les jeux de rôle édités dès qu’ils ont un peu d’ampleur. C’est aussi le cas des jeux indés comme avec le couple Simon et Manon Li (Terres de Sang, Héros d’Argile, Damnés, etc). Deux autaires ou plus, c’est des imaginaires complémentaires, c’est un retour critique immédiat sur ses idées, c’est de la co-motivation, c’est aussi se partager les compétences et les goûts (Manon a l’idée de base, Simon fait le game design et la comm), ça peut aussi influencer sur le gameplay (cf leur bac à sable narratif à deux MJ)
L’écriture à plusieurs mains est plutôt la norme dans les GN avec l’écriture de persos. C’est important de se répartir le travail clairement, de le borner (une feuille de perso ne passe pas une page police 10), mais aussi d’accepter à l’avance la possibilité de défaillance d’unn des autaires [à voir si on prend le relais ou si on diminue l’ambition du projet]. Voir si on fait des sessions de travail asynchrones ou si on fait du co-working (en présentiel ou en distanciel) : principe du fichier GTD à deux pour tracer les tâches (l’application Trello le permet également).
On peut faire des projets de création collaborative assez souples et en double aveugle (cf mon projet d’atelier de création de jeu belonging outside belonging : on fixe ensemble un vague cadre, chacun écrit des questions de world building, des cadres et des livrets de PJ, et on mutualise ensuite).
On peut aussi déléguer le travail d’écriture… aux PJ (cf ma vidéo pour écrire le background de son personnage).
J’ai essayé de te parler surtout de projets avec des équipes relativement réduites et d’ambition intermédiaire. Il y aurait sûrement beaucoup à dire sur les GN regroupant plus de 100 personnages, sur les énormes gammes de jeu de rôle, etc.
J’aimeJ’aime
J’ai oublié de vous mentionner une ressource précieuse : les podcasts Trop Long; pas Lu, un format audio de 30 minutes où vous pourrez entendre des équipes de deux personnes créer un jeu de rôle ensemble ! https://troplongpaslu.fr/podcasts-sur-les-jeux-de-role-courts/
J’aimeJ’aime