Inflorenza minima

Le jeu de rôle des contes cruels dans la forêt de Millevaux

Inflorenza minima est la version à ce jour la plus épurée d’Inflorenza, sans aucun matériel (ni feuille, ni stylo, ni dés, ni chiffres, ni hasard), taillée pour des séances intenses de jeu moral.

(temps de lecture : 7 min pour les règles essentielles + 54 min de lecture facultative)

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crédits image : keightdee, thomas hawk, licence cc-by-nc, galeries sur flickr.com

Formats

Livre en impression à la demande

Version illustrée en PDF

Générateur aléatoire sur Chartopia

Le jeu sur Itch.io

Version texte en PDF

Version traitement de texte

Règles en audio

Traduction en anglais, par Mori

Ressources

Comptes-rendus de partie

Une aide de jeu par Axel Tentacle

Playlist en écoute libre

Illustrations du jeu par Willy Cabourdin

Théâtres

Lîdje : Un théâtre frileux dans le plat pays par Jérome « Corvos » Baronheid

+ Novokirchiv

Antoine Saint-Epondyle nous livre un théâtre désespéré, sordide et violent, inspiré de Terminus Radieux d’Antoine Volodine !

Image
Ggas mask forest creepy, par seerotoninee.

Œuvres dérivées

Face au dragon, un jeu de rôle d’affrontement héroïque par Jeepee

Inspiré de beaucoup de productions de la sphère rôliste, il emprunte notamment à Inflorenza Minima le principe de sacrifices ! 

Revue de presse

Podcast One-Shot de la Cellule consacré au jeu

Critique du jeu par Valentin sur Les Ateliers Imaginaires

Une critique du jeu Inflorenza Minima par Jeepee sur Jeepee Online !

« Un jeu qui met l’accent sur les choix moraux et qui prend un plaisir ludique à faire souffrir les personnages mais aussi un peu les joueur.euse.s afin d’en extirper la moelle, la sève, pour une expérience de jeu halluciné et hallucinante. Une poésie dramatique et emprunte de magie. » (temps de lecture : 2 min)

Commentaires

« Si vous êtes à la recherche d’un jeu d’ambiance étrange, inquiétant, dérangeant où l’action s’efface pour faire place à la tragédie, je vous recommande vivement de découvrir Inflorenza Minima de Thomas Munier. »,

page Facebook Aux Portes de l’Imaginaire

 » Pour ce nouvel opus, Thomas a fait appel à Willy Cabourdin pour les illustrations et il faut reconnaître que même si le photomontage un peu trash de Thomas pour la couverture de la première édition posait une ambiance particulière, les illustrations de cette seconde édition apportent une vraie plus-value à l’ouvrage.

Willy Cabourdin est doué, incontestablement. La mise en page, claire et rationnelle, propose une lecture aisée de l’ouvrage, là où la première édition se contentait d’un texte brut, un peu sec.
Je n’ai encore que feuilleté cette nouvelle édition mais on la sent plus aboutie que la précédente version, d’autant qu’on passe de 18 pages à 98 pages. Il y a de la matière. Une lecture plus approfondie s’impose. »,
Jeepee sur Jeepeeonline
« Inflorenza minima, tout d’abord, version… minimaliste donc – sans matériel, sans dés, sans données techniques – d’Inflorenza. Tout le jeu repose sur le prix à payer, sacrifice ou compromis qu’on est prêt à faire pour aller au bout de sa quête. Pas eu l’occasion de tester dans ce format, je garde donc mon avis pour plus tard sur la mécanique, mais elle me semble correspondre en tout point à l’ambiance de tragédie mythologique qui fait le sel d’Inflorenza.
Un point tout de même sur la présentation : je trouve les illsutrations non seulement magnifiques – des photos réhaussées par des motifs ou des traits de couleurs, une gamme chromatique ressérée dans les tons verts et jaunes – mais surtout très évocatrices, elles renvoient à quelque chose d’à la fois enfantin et monstrueux, de l’ordre du conte cruel. C’est un type de graphisme plutôt inhabituel pour du jdr et que je trouve ici particulièrement approprié.
Comme toujours dans les jeux de Thomas, tout est parfaitement clair et organisé, et la maquette – belle mais sans fioritures, avant tout fonctionnelle – met en valeur la hiérarchie et la clarté des informations. »
Orfeo² sur Casus No
« Je te suggère d’aller découvrir le travail de Thomas Munier. Il est connu dans la sphère rôliste mais moins en dehors, c’est un auteur de jeux indépendants et de toute une œuvre-univers nommée Millevaux, qu’il fait vivre à travers plus d’une quinzaine (!) de jeux minimalistes de sa conception. C’est un univers horrible et sans concession, une forêt post-apo mutante et invivable qui recouvre toute l’ancienne Europe, et dans laquelle se déroulent des récits d’horreur hardcore et de survie sans lendemain. Chaque jeu apporte sa propre façon de jouer, un game design, un type d’histoire dans cet univers : de la survie au trip onirique en passant par plein de variantes que je ne connais pas. Le dernier né s’appelle Inflorenza Minima est c’est une forme de jeu ultra minimaliste qui repose sur une règle toute simple : tu peux (presque) tout faire pour survivre dans cet univers horrible, à condition que tu sacrifies quelque-chose en échange. Je te laisse imaginer l’expérience du déclin et de la compromission qu’on peut s’inventer pour vivre le post-apo comme si on y était – tout en partageant la fiction dans une large mesure. En plus le bouquin est illustré par Willy Cabourdin, un illustrateur incroyable dont j’adore le boulot. »

Variantes

Inflorenza Bianca

Inflorenza Comedia

Jeux motorisés par Inflorenza Minima

Odysséa

page du jeu

L’Autoroute des Larmes

(crédit image : fusionpanda, licence cc-by-nc, galerie sur flickr.com)

page du jeu