Podcast N° 3 / Créativité / Passer à l’étape supérieure

Podcast N° 3 / Créativité / Passer à l’étape supérieure

Ce podcast de 2h37 étudie les étapes à franchir dans un parcours créatif. De la procrastination à l’envie, de l’envie aux idées, des idées à la réalisation, de la réalisation à la diffusion, de la diffusion à la vision, un voyage au coeur de la créativité qui passe par la méthode, la passion et l’intime.

Participants : Jérémie Rueff (maison d’édition Les Ecuries d’Augias), Laury « Shiryu » Chable (auteur du jeu de rôle Sacrifices) et Bastien « Acritarche » Wauthoz (auteur de l’univers de jeu de rôle Les Terres Barbares)

Crédits Image : <Leonie Vienna>, licence CC-BY-NC, galerie sur flickr.com

6 commentaires sur “Podcast N° 3 / Créativité / Passer à l’étape supérieure

  1. Un podcast certes intéressant (j’ai particulièrement apprécié les interventions de Bastien). Par contre, la qualité de la dernière heure de podcast est très très mauvaise. Si on arrive à comprendre les intervenants, c’est tout pourri et tout haché quand c’est toi, Thomas, qui parle. C’est assez pénible. J’ai dû faire un gros effort pour écouter le podcast jusqu’au bout. Dommage. La technique est parfois capricieuse !

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    1. J’en suis conscient. C’est dû je pense à la qualité de réception du signal par google hangout qui est, comme tu le dis assez capricieuse. Pour l’heure, je ne sais pas comment y remédier, à part croiser les doigts. Dans les podcasts que nous avons enregistré ultérieurement, le problème ne s’est pas renouvelé, à part de façon sporadique sur le podcast game design dédié aux bacs à sables. Si quelqu’un sait comment améliorer ce point, je suis preneur de conseils !

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  2. Je suis choqué par les propos de Jérémy. En plus de nommer une œuvre ludique un produit, il parle d’adaptation du « produit » pour le plus grand nombre.
    Alors oui une œuvre doit être un minimum accessible mais pas à n’importe quel prix.
    Et non on ne peux parler de produit. Il est question ici d’œuvre créée par un auteur/créateur et non d’une brosse à dent. Si on appelle un œuvre un produit on est prêt à tous les sacrifices pour la vendre au plus grand nombre. Il y a risque élevé à dénaturer l’œuvre, de la vider de sa substance et de la rendre générique.
    Les créateurs qui hésitent à passer à la vitesse supérieure ne doivent pas se dire qu’il faut forcément adapter leur œuvre au plus grand nombre. De toute façon, une adaptation naturelle se fait déjà via des playtests. Pour ma part, je pense qu’en tant qu’auteur je n’irai jamais vers un éditeur et les propos de Jérémy ne m’y incite pas le moin du monde.
    Désolé c’est brut mais ça m’a vraiment choqué d’entendre ça.

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    1. les mots sont parfois vecteurs d’incompréhension. Un mot peut être anodin pour un, choquant pour un autre. Je crois pourtant qu’en tant qu’éditeur, Jérémy est attentif à l’aboutissement artistique des œuvres qu’il soutient. Cela fait partie de son rôle. Mais je vois ce tu veux dire. Je te conseille la lecture de cet article de Fabien Hildwein : « Oeuvre ou produit ? » http://alcyon-jdr.com/oeuvre-ou-produit/

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  3. Merci pour ce lien. Je partage en beaucoup de points la vision de Fabien.
    C’est vrai que les mots sont parfois vecteurs d’incompréhension et en tant qu’animateur de podcast t’es en première ligne 😉

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